Maintenant que le mariage entre les groupes Fiat et Chrysler est consommé, il est temps de passer la seconde en restructurant les gammes des différents constructeurs. Point négatif, la disparition en Europe des marque Chrysler et Dodge. Une manière de faire des économies d'un côté et de favoriser les constructeurs un peu en manque de nouveautés de l'autre. Raison pour laquelle Lancia va lancer un grand monospace (Voyager), une nouvelle berline Thema (300C) alors que Fiat propose désormais un imposant véhicule tirant vers le crossover, le Freemont. Alors c'est vrai qu'esthétiquement, il y a un peu de quoi jouer les mauvaises langues. Le Freemont ressemble comme deux gouttes d'eau (en faisant abstraction des logos) au Dodge Journey.
On a donc droit à un engin assez imposant avec ses 4,88 mètres et son coup de crayon un brin cubique. Bref, pas de révolution puisqu'ici, il est évident que Fiat ne comptait pas tout changer. Une fois à bord en revanche, c'est la surprise. La planche de bord un peu sommaire du Journey a laissé place à un nouveau dessin doté de matières moussées. Un vrai bond en avant sur les matériaux et la qualité globale. Point essentiel de ce Fiat Freemont, le volume habitable à toutes les places. Elles peuvent d'ailleurs aller jusqu'à 7, grâce à deux strapontins situés sur une troisième rangée et intégrables dans le plancher du coffre. Un brin limité une fois en 7 places, ce dernier revendique 460 litres jusqu'à 1 461 litres en rabattant tous les sièges arrière.
En passant plus à l'avant, le Freemont offre deux possibilités avec un 2,0 litres diesel à rampe commune décliné en 140 et 170 ch. Notre version affichait 170 ch. Une puissance très correcte qui n'est finalement pas de trop pour contenir les 1 875 kg à vide de l'engin. Il permet d'afficher 100 km/h en 11 secondes avec une sonorité qui n'est pas trop envahissante dans l'habitacle. Pour la consommation moyenne, il se contente de 6,4 litres alors que les émissions en CO2 sont de 169 g. Ce chiffre peut paraître élevé mais comme il s'agit d'une voiture à vocation familiale, si vous avez trois enfants, il est possible de réduire fiscalement la facture et de récupérer ainsi les 750 euros de malus.
Sur la route, le Freemont a beau avoir progressé par rapport à l'ère Dodge, il se révèle plus à son aise sur autoroute que sur petites portions sinueuses. Même si l'ensemble demeure très sain, on sent tout de même une certaine prise de roulis dans les enchaînements. Ce qui prime bien entendu, c'est le confort des occupants. De quoi obtenir une excellente routière pour les longs parcours. Côté tarif, il faut compter sur un ticket d'entrée situé à 26 600 euros pour la version 140 ch. Pour notre finition Urban (très bien dotée), comptez 3 000 euros de plus, incontestablement le meilleur choix. 
On a donc droit à un engin assez imposant avec ses 4,88 mètres et son coup de crayon un brin cubique. Bref, pas de révolution puisqu'ici, il est évident que Fiat ne comptait pas tout changer. Une fois à bord en revanche, c'est la surprise. La planche de bord un peu sommaire du Journey a laissé place à un nouveau dessin doté de matières moussées. Un vrai bond en avant sur les matériaux et la qualité globale. Point essentiel de ce Fiat Freemont, le volume habitable à toutes les places. Elles peuvent d'ailleurs aller jusqu'à 7, grâce à deux strapontins situés sur une troisième rangée et intégrables dans le plancher du coffre. Un brin limité une fois en 7 places, ce dernier revendique 460 litres jusqu'à 1 461 litres en rabattant tous les sièges arrière.
En passant plus à l'avant, le Freemont offre deux possibilités avec un 2,0 litres diesel à rampe commune décliné en 140 et 170 ch. Notre version affichait 170 ch. Une puissance très correcte qui n'est finalement pas de trop pour contenir les 1 875 kg à vide de l'engin. Il permet d'afficher 100 km/h en 11 secondes avec une sonorité qui n'est pas trop envahissante dans l'habitacle. Pour la consommation moyenne, il se contente de 6,4 litres alors que les émissions en CO2 sont de 169 g. Ce chiffre peut paraître élevé mais comme il s'agit d'une voiture à vocation familiale, si vous avez trois enfants, il est possible de réduire fiscalement la facture et de récupérer ainsi les 750 euros de malus.
Sur la route, le Freemont a beau avoir progressé par rapport à l'ère Dodge, il se révèle plus à son aise sur autoroute que sur petites portions sinueuses. Même si l'ensemble demeure très sain, on sent tout de même une certaine prise de roulis dans les enchaînements. Ce qui prime bien entendu, c'est le confort des occupants. De quoi obtenir une excellente routière pour les longs parcours. Côté tarif, il faut compter sur un ticket d'entrée situé à 26 600 euros pour la version 140 ch. Pour notre finition Urban (très bien dotée), comptez 3 000 euros de plus, incontestablement le meilleur choix.
GALERIE
FICHE TECHNIQUE
| Marque | Fiat | ||
|---|---|---|---|
| Modèle | Freemont 2,0 Multijet 170 Urban | ||
| Longueur | 4.88 m | ||
| Largeur | 1.88 m | ||
| Hauteur | 1.69 m | ||
| Coffre | 540 à 1461 | ||
| Moteur | 4 cyl. 2,0 l diesel à rampe commune de 170 ch à 4 000 tr/mn | ||
| Couple maxi. | 350 Nm à 1 750 tr/mn | ||
| Conso moy. | 6.4 | ||
| Emission en CO2 | 169 g/km | ||
| 0 à 100 km/h | 11 s | ||
| Vitesse maxi. | 195 km/h (sur circuit) | ||
| Prix | 29600 € | ||
| Bilan écologique | -750 € | Securité | Confort | Budget | Agrément |
| Sécurité routière | 6 airbags, ESP, régulateur de vitesse… | ||
